Qui suis-je ?

Un parcours guidé par le cœur !

Après des études de littérature étrangère et la préparation du CAPES dans le but de devenir enseignante, la vie m’a menée vers un tout autre chemin, celui du secteur bancaire, pour lequel je nourrissais l’envie de conseiller et accompagner les particuliers dans leur gestion quotidienne ainsi que leurs projets. Cependant, après plusieurs années dans ce milieu, j’ai souhaité donner un nouvel élan à mon parcours professionnel, plus en lien avec mes valeurs, et renouer avec ce qui m’avait animé à l’université : travailler avec les enfants, les adolescents, mais aussi étudier la psychologie.

Des formations pleines de sens !

C’est ainsi que j’ai découvert la formation de praticienne en psychopédagogie positive dispensée par la Fabrique à Bonheurs (Paris), réalisée en parallèle de la préparation à la certification de psychopraticienne (Psychologie de l’enfant et de l’adolescent et Psychologie générale– Ecole Praxisa Paris ). A cela s’ajoute mon expérience de maman, une aventure fabuleusement complexe qui me fait grandir au fur et à mesure que grandissent mes 3 garçons et qui a, depuis bientôt 15 ans, orienté mes lectures vers les thématiques en lien avec le développement de l’enfant et la parentalité positive

Je suis également membre de l’école de méditation RESO (Paris) au sein de laquelle j’ai été formée pour transmettre les bases de la méditation de pleine présence. Cette aventure méditative débutée il y a trois ans m’a permis de comprendre le rapport instrumentalisé que nous entretenons souvent avec notre corps, et qu’il est bénéfique d’apprendre à se poser pour mieux le ressentir, l’écouter, être plus présents à la vie et au monde.

Sensible au véritable fléau qu’est le harcèlement scolaire, j’ai été formée à la méthode (basée sur les travaux du psychologue américain Izzy Kalman) appelée  » jeu de l’idiot ». Cette méthode représente à la fois un moyen de prévention et d’action face à la violence verbale répétée. Loin de prôner l’agressivité en guise de défense, elle vise plutôt à la désamorcer en déstabilisant l’enfant qui harcèle. Le jeu de l’idiot est proposé en séance sous forme de jeux de rôle, car c’est en expérimentant que l’on en saisit mieux l’impact.

Mon projet

Aujourd’hui j’ai à cœur de transmettre la conviction que la difficulté est une occasion de mettre en lumière, de révéler, des forces en soi sur lesquelles on peut s’appuyer. Aider nos jeunes à croire en eux, en leur capacité à mobiliser leurs ressources pour faire face aux diverses situations sur leur chemin d’apprentissage me semble un beau projet !

Le perfectionnisme n’est pas nécessaire. Ce qui compte, c’est d’essayer et de faire de son mieux.